La galerie de l’école

VINCENT PERROTTET / DANS LE CADRE DE GRAPHISME DANS LA RUE «Travaille d’abord tu t’amuseras ensuite», dans le cadre du festival Graphisme dans la rue 2009. Projet réalisé dans le cadre d’une allocation de recherche du centre national des arts plastiques (cnap) « Travaille d’abord tu t’amuseras ensuite » est une série de dix affiches recto-verso réalisée en association avec le photographe Myr Muratet. « J’ai essayé de créer et de produire des images alternatives à une société essentiellement organisée autour d’un consumérisme compulsif. Ce sont des affiches politiques, dont le recto est une photo sans aucun commentaire, portrait où paysage, image de notre époque qui se donne à regarder et à réfléchir comme n’importe quelle œuvre d’art photographique. Au verso, beaucoup de choses à lire. En trois couches de sens, un mot d’ordre très fort (« LA CONCURRENCE C’EST DÉGUEULASSE » ou « PAUVRE CON sommateur » …) sur lequel se surimpriment des textes et citations de personnes aussi diverses que généreusement brillantes comme André Gorz, Raoul Vaneigem, Gilles Deleuze, Max Frisch, André Comte-sponville, Robert Walser … »

HIC / NUNC / EXPOSITION PROFESSEURS ÉCOLE ARTS PLASTIQUES

ANNE-MARIE ROGNON / PLASTICIENNE ET SANS CIEL, peinture-installation

GRAPHISME DANS LA RUE / SÉLÉCTION CONCOURS AFFICHES

FRANÇOIS CHAT ET RAMUNTCHO MATTA / INSTALLATION RETOUR DANS LE BOIS DE PINS
Installation de François Chat et paysage sonore de Ramuntcho Matta. Une performance de François Chat.

EGIDE VILOUX / PLASTICIEN INCLINAISON, DÉCLINAISON

GRAPHISME DANS LA RUE / SÉLÉCTION CONCOURS AFFICHES

FRANÇOIS SCHMITT / PEINTRE

LAURENT LIVET / PLASTICIEN

ANNE-MARIE LATRÉMOLIÈRE / GRAPHISTE TOUT EST POUR LE MIEUX DANS LE MEILLEUR DES MONDES POSSIBLES ( ... MAIS IL FAUT CULTIVER SON JARDIN)
Installation à la galerie de l'école et dans le jardin dans le cadre du festival Graphisme dans la rue.
Une exposition en noir et blanc, en choc frontal du noir et du blanc
NOIR Dans nos sociétés où l'homme est pris en compte dans sa seule dimension économique, où l’ordre ne sert qu’à protéger les richesses/profits, où la relation à l’environnement et à l’autre sont en crise, où le rêve n’a plus sa part...
BLANC lui opposer un monde où l’homme est au centre et pris dans sa dimension humaine et poétique et dans lequel toutes les nuances de gris peuvent se déployer. «... comment la nuit, rendre du rêve aux hommes»

CAROLINE COPPEY / PEINTRE LIAISONS

JEAN-MICHEL HANNECART / PEINTRE THE LAST WINDOW

JACQUES JULIEN / SCULPTEUR Installation dans le parc de la galerie de l'école.

OLIVIER GOURVIL / PEINTRE À PLUS D'UN TITRE
Depuis plusieurs années, j’invite les visiteurs à donner un titre à un tableau de l’exposition. Pour l’exposition à la Galerie de Fontenay-sous -Bois, je souhaite renouveler l’expérience. - une peinture sans-titre - Dans l’exposition, une des peintures n’a provisoirement pas de titre. Les visiteurs sont invités à suggérer des titres par écrit dans un carnet ou par enregistrement vocal sur un ordinateur. Il est également possible d’écouter les titres déjà enregistrés, tout comme on consulte un carnet d’exposition. - Le même tableau sera montré quelques mois pus tard à Rotterdam, titré ainsi en différentes langues. C’est un calligramme sonore que je souhaite construire avec le public. Il s’agit, à terme, de produire un environnement sonore d’un tableau, en plusieurs langues. En ce sens, j’accorde une place spécifique à la perception du spectateur. - titre, etc - Mes premières recherches sur le titre et la relation sonore ont commencé vers 1994, avec des visites à l’atelier. La relation avec les mots, le texte, l’écrit est un aspect spécifique de mes recherches. Elle construit des liens avec le public et le contexte de mon travail. La question du poétique et de la perception sont concernées dans ce travail. Et celle du titre donné à une oeuvre en est le point de rencontre central.

MARIA ARNOLD / GRAPHISTE CAR C'ÉTAIT LE TEMPS ET J'AIMAIS CE TEMPS MALGRÉ TOUT
Installation dans la galerie de l'école et dans le parc, création sonore : Fred Giuliani.
Dans le cadre du festival Graphisme dans la rue.

FLEURS / EXPOSITION COLLECTIVE Mur peint (porche): Katerine Louineau Sculpture (parc): Christine Mathieu Sol peint (galerie): Anne-Marie Latrémolière et les peintures sur papier de: Benchamma Ab Delkader, Allemane, Vincent Alran, Michelle Antoine, Maria Arnold, Fabienne Auzolle, Jean Ballon, Iracema Barbosa, Werhner Bouwens, Olivia Clavel, Marie-Laure Colrat, Marie-Louise Cusack, Caroline Coppey, Thierry Dargent, Mathias Gaillaguet, Jean Michel Hannecard, Jean Hin, Alex Jordan, eve K, Laurie Karp, Philippe Lagautrière, Lulu Larsen, Katerine Louineau, Aude De Marcellus, Christine Mathieu, Emanuela Not, Mélik Ouzani, Dominique Pallier, Michel Quarez, Julien Sirven, Olivier Soulerin, Bernard Vidal

EMILIE BENOIST / PLASTICIENNE ESPACE MENTAL

PHILIPPE RICHARD / PLASTICIEN EN LONG, EN LARGE, EN TRAVERS, SUR LES CÔTÉS, PAR DERRIÈRE
Les deux oeuvres présentées à Fontenay, respectivement dans la Galeru (En long, en large, en travers) et dans le nouvel espace d'exposition de l'école d'art (Sur les côtés, par-derrière) font parties de la série « Instables » commencée depuis plus de deux ans. Elles ont été réalisées spécifiquement pour chacun des deux lieux. Les Instables sont des structures peintes construites de manière à ce que les questions d'équilibre et d'occupation de l'espace soient au coeur de la démarche. Les instables sont pour la plupart de taille assez importantes, ce qui leur donnent le plus souvent une dimension théatrale. Elles sont le lieu « non-praticable » d'une pièce qui ne se jouera jamais.