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  DESIGN :
Emanuela Not et Guergana Novkirichka

DEVELOPPEMENT :
Induxia,
13, rue de Paradis
75010 Paris

HEBERGEMENT :
Induxia
  Editeur :
Site de la diffusion des arts plastiques à Fontenay-sous-Bois, édité par PHILIPPE CHAT (1954-2012) et par EVELYNE CHAT
evelyne.chat@lagaleru.org
Fontenay-en-Scènes Siège social : 26 rue Gérard Philipe 94120 Fontenay-sous-Bois
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2014
MARIE-LAURE COLRAT / FIGURE TOI
JOËL BRISSE ET MARIE VERMILLARD / J'AI LA TAILLE DE CE QUE JE VOIS
2013
LA CORDONNERU /

Installation de François Chat en hommage à son père.

EN ATTENDANT LES NOUVELLES EXPOSITIONS ... /

Rendez vous à la galeru le 22 septembre à 12h30 pour le vernissage

de l'installation de François Chat "La cordonneru".

HOMMAGE À PHILIPPE CHAT / DÉAMBULATION ARTISTIQUE DU 13 AVRIL

Le parcours a commencé à la Galeru où dessinateurs, graphistes, peintres, plasticiens lui ont rendu hommage dans une accumulation d'œuvres. Puis en passant par la galeru des chemins (image de "ici même") la déambulation a continué vers le cimetière pour contempler, dans la salle des familles, la peinture de Chloé Poizat, nouvelle acquisition, et s'est terminé au Service Culturel (place Marcel-Paul, 166 boulevard Gallieni) où a été inaugurée, l'air de rien, la Maison de Locutions Ordinaires, commande que Philippe Chat donna à David Poullard et Guillaume Rannou.

2012
DISPARITION DE PHILIPPE CHAT / LES HOMMAGES DES ARTISTES, GRAPHISTES ET PERSONNALITÉS

Hommage d'Aurélie Filippetti ministre de la Culture et de la Communication, à Philippe Chat

Philippe Chat était un passeur d'images, un artiste engagé qui a su installer une grande effervescence créative dans sa cité de Fontenay-sous-Bois. Le Salon de l'éphémère, le festival Graphisme dans la rue, le concours d'affiches contre les violences faites aux femmes, la Galeru, mode d'exposition inédit, les commandes de bancs d'artistes… font figure de jalons dans l'histoire du graphisme - en particulier de ce «graphisme d'utilité" publique» dont il est l'un des pionniers.
Son action protéiforme au service du graphisme d'idées et de la profession tout entière, la place faite à la pédagogie et au travail avec les acteurs de la ville, font de Fontenay-sous-Bois un lieu modèle, un laboratoire chaleureux où la parole est redonnée aux murs et où la rue redevient espace d'utopie.
Mes pensées vont à sa compagne et complice Evelyne, ainsi qu'aux Fontenaysiens et aux nombreux artistes dont il fut le soutien.
Paris le 8 janvier 2013.

 

Article ETAPES GRAPHIQUES "LE GRAPHISME EN DEUIL"


Hommage de BRUNO SOUÊTRE 1

Hommage de BRUNO SOUÊTRE 2

Hommage de GIANPAOLO PAGNI


Hommage de OLIVIER DARNE
 / ZONE SENSIBLE

Hommage sur le site DE RENE WANNER

 

Image du faire part : Anne-Marie Latrémolière

GRAPHISME DANS LA RUE / SÉLECTION AFFICHES CONCOURS 2010

Sélection affiches concours international "Contre les violences faites aux femmes" - déjà présentée à l'Hôtel de Ville de Fontenay en novembre 2010 dans le cadre de Graphisme dans la rue.

ÉVE K. / PHOTOGRAPHE

«J'aime bien mettre en parallèle des situations dans des lieux différents, c'est de cette confrontation que naît le propos,

le temps suspendu ou son contraire l'invitation au voyage»

ROCCO / ILLUSTRATEUR, "LE GARAGE À BITS
LOUISE DEVALOIS / GRAPHISTE DIALOGONS
GRANJABIEL / PEINTRE, ILLUSTRATEUR

Etoile noire.

Etoile noire je te cherche dans une nuit sans lune. / Je marche dans le désert guidé par ton chant. / Pour qui meurent les oiseaux célestes ? / Les plantes carnivores ont-elles une âme ? / Sommes- nous l’envers de notre endroit / quand nous inventons des poèmes ? / Les animaux circulent en petits groupes et grands troupeaux / emportés dans le flux sanguin des planètes. / Je les sens passer dans mon être à chaque nouvelle fièvre, / vers luisants, pollens, lucioles, luminescentes poussières d’étoiles. / Cachés, recroquevillés sur une frêle coquille / nous dérivons dans le grand-rien-du-tout / qui fait de nous un esprit sans objet. / Je suis l’esprit-poisson, l’esprit-oiseau, l’esprit-kangourou, / l’esprit-serpent, l’esprit de l’esprit qui s’incarne / dans le végétal, le minéral, l’animal, l’eau et le feu… / Je suis la nature, le vivant, je ne suis qu’un, / une étoile noire, une sidération cosmique, / enfin l’énergie de l’espoir / sans espoir… / Comprends- tu ?

Granjabiel 2011

2011
CARLOS M. DA CRUZ / PLASTICIEN
PAELLA / ILLUSTRATEUR «C'est le jour et/ou la nuit par Paella?» (Installation appréciable de près et/ou de loin) à la galeru et à la galeru du passage, mai-septembre 2011
NICOLAS FILLOQUE ET ADRIEN ZAMMIT / GRAPHISTES «Notre Ville Utopique» «Nul besoin d’être expert, urbaniste, élu politique ou spéculateur immobilier pour s’interroger sur la question de la ville, son état présent et ce vers quoi nous aimerions qu’elle se développe. Ce sont des questions dont les citadins-citoyens doivent se saisir. Dans la Galeru, nous prenons la parole pour livrer une esquisse personnelle, colorée et foutraque, de ce que serait notre ville utopique. En guise de point de vue, voilà tout un programme enthousiaste et ambitieux qui peut, peut-être, servir de prétexte pour se questionner sur ce qui fait notre Cité et pourrait l’améliorer.» N. Filloque et A. Zammit http://www.formes-vives.org/blog/
ÉCOLE BOULLE / PARTENARIAT GALERU «Attitude(s) de rue», mars 2011 Confrontés aux regards des autres, nous adoptons une attitude et un comportement particuliers dans l'espace public. Les postures, les mouvements de la rue sont homogènes: courbées, renfermées sur elles-mêmes, contenues, mesurées... La rue se peuple alors d'attitudes ordinaires. La Galeru devient la vitrine de ces comportements. A partir de prises de vue réelles, une foule de silhouettes uniformes vient habiter cet espace, entre deux et trois dimensions. A l'intérieur de celle-ci, des pointes colorées aux allures libérées et singulières se démarquent et ponctuent cette sobriété. Ainsi, la foule statique s'anime. Anne-Cécile Rabine
2010
GRAPHISME DANS LA RUE / CONCOURS INTERNATIONAL D'AFFICHES Concours international d'affiches "Contre les violences faites aux femmes" images primées, décembre 2010 À la suite de l'exposition des 36 images sélectionnées dans le hall de l'Hôtel de Ville de Fontenay-sous-Bois (+ édition d'un catalogue) la galeru a exposé les images primées par le jury (3 prix ex aequo, 2 mentions spéciales)
AUDE JABBOUR / PARTENARIAT ÉCOLE BOULLE - GALERU POP UP URBAIN partenariat école Boulle - la Galeru La rue est un espace d'accumulation, polychrome, riche d'une multitude d'éléments : façades, sols, enseignes, signes, mobiliers urbains, végétations... La galeru devient la vitrine de cette effervescence visuelle, traduite par un travail sur la couleur. Chaque élément qui 'habite' l'espace urbain est représenté par un carré d'une des couleurs qui le compose. La couleur permet une lecture synthétique de la rue, réduite ici, à un code coloré.
CHLOÉ POIZAT / ILLUSTRATEUR RAIE-GARDE
Ce mural s’inscrit dans une réflexion plastique sur le paysage initié en 2006, intitulée Paysages accidentés. C’est regarder le paysage comme genre et lui rendre une invraisemblance comme lorsque nous sommes frappés d’hallucinations face à des paysages naturels, c’est forcer le regard sur ce genre à travers l’absurde. La vitrine de La Galeru permet à l’absurde et à l’invraisemblance de s’exprimer pleinement par cette double inversion du regard, l’intérieur devient l’extérieur tout en observant ce paysage impossible à travers la classique «fenêtre». C.P.
www.chloepoizat.com - www.chlpzt.info
CRIPS / AIMONS NOUS! www.lecrips.net
CLAUDIA IMBERT / PHOTOGRAPHE
ANDREA DA SILVA-OLIVEIRA / PARTENARIAT ÉCOLE CERGY - GALERU
GILLES DUPUIS / GRAPHISTE « ANIMALERUE »
2009
VLADIMIR CRUELS / PLASTICIEN Vladimir Cruells artiste Fontenaysien a commencé sa résidence pour la saison 2009/2010 par une installation à la galeru. Le titre générique de la résidence de Vladimir Cruells est «Le sale boulot».
Mon travail est sale ! Il est entaché, comme les histoires que je manipule ; il est fait parfois très vite, comme on fait, en définitive, un « Sale Boulot ».
Son travail à la galeru s’appelle «Max». Mf Doom, Mad Mike et le sous-commandant M. Méfaits du colonialisme. Inévitables masques africains coupés de leurs histoires, de leur force de vie et d’action. «D’objets pouvoirs», «d’objets actifs», ils se sont transformés en objets morts – décontextualisés. Détournement d’objets, dédoublement d’objets… les matériaux sont divers, les formes aussi. Portraits, Visages ils nous regardent. Ils ont un gardien qui ne ressemble pas à ceux qu’on a l’habitude de trouver dans les musées. Il fait partie de leur monde, sa fonction n’est pas d’éviter le vol ou la détérioration volontaire mais de prendre garde à ce qu’ils ne meurent pas… ce sont des masques.
BRUNO SOUÊTRE / INSTALLATION POUR ÉCOLE ARTS PLASTIQUES «L'ART C'EST DU SALE BOULOT, ...»
JEAN WIDMER / GRAPHISTE Installation dans le cadre de la 17e édition du festival Graphisme dans la rue. Les quatre formes associées en binôme (Le triangle, le cercle, le carré et l'hexagone) sont animées par un jeu poétique expressif et abstrait. La magie des formes qui se déplacent en mouvement circulaire, se couvrent, disparaissent et se reforment le temps d'un tour de cercle, d'une conjugaison entre forme et couleur élémentaire. La nuit, les couleurs fluorescentes et le blanc s'intensifient par le mystère de la lumière noire.
ÉVE K / PHOTOGRAPHE «LE TEMPS QU'IL FAIT»
CLAIRE ESCALON / DESIGNER Claire Escalon est designer de formation. Son champ d’expression va de la scénographie, au design de mobilier en passant par l’architecture d’intérieur, qu’elle pratique au sein de l’Atelier Premier Etage, créé en 2003. Paralèllement, elle développe une réflexion personnelle sur le quotidien, les humeurs et angoisses du jours, ... qui prennent la forme d’installations (le plus souvent « in situ »), réalisés avec des matériaux très commun : tissus, punaises, laine (tricotin), bois...
2008
ANNE MARIE ROGNON / PLASTICIEN «ET SANS CIEL»
La partie continue Anne Marie Rognon manie le dérisoire avec une placidité impeccable et un humour limpide. Par le biais d'assemblages rudimentaires, une esthétique de la miniature et de la pacotille, l'artiste entreprend un travail se déplaçant entre la peinture, l'installation ainsi que la vidéo. A l'aide d'un pop de seconde main, de couleurs vives, de contours naïfs et flashy, Anne Marie Rognondéploie un imaginaire irrésistible alliant simplicité goguenarde etpoésie exquise. Ses slogans et jeux de mots témoignent d'un mauvais esprit ravageur, tout en n'apparaissant cependant que par sous-entendus allusif ou connotations légères. Entre premier degré confondant et clins d'œil rafraîchissants, une des caractéristiques de ce travail réside en une certaine liberté de ton, une énergie forte et fragile. A l'aune de la société moderne de consommation et de l'univers du supermarché et des télécommunications, l'artiste donne à voir un bric à brac séduisant qui va de la scène de genre en trois dimensions, à la représentation sous des traits fluos d'éléments issus de la banalité. Ses installations se distinguent par la mise en présence d'accessoires glanés dans le quotidien, tel que le fil à linge, les bottes en plastiques, le tricot… Une des dernières séries d'acryliques de l'artiste s'est constitué à partir du motif de la table de tennis de table et de la partie à jouer. Ping-pong entre œuvre picturale et installation objet dans l'espace, Anne Marie Rognon n'hésite pas à peindre sur des raquettes de tennis. Détournements intempestifs à l'égard de l'objet plastique, rapports d'échelle inédits et combinatoires imprévues de matériels variés, celle-ci ne recule pas non plus devant la minutie et la précision de l'effet recherché. L'une de ses pièces intitulée On solde mais c'est plus cher, consiste notamment en la reconstitution d'un rayon de grand magasin, les cintres portant des dessins de l'artiste d'habits sur papier. Sans complexe, Anne Marie Rognon joue sous tous les tableaux avec doigté et sans jamais forcer la chose. On pensera à sa vidéo, sorte de variation sur le même thème, où elle plaisante tranquillement à propos de son patronyme : « …ce n'est pas un nom d'artiste. » Ou à cette autre vidéo, dans laquelle elle dit à la façon d'une diva discrète et fausse nonchalante, «… moi, je suis là». Frédéric Emprou-2008
GRAPHSET /
ANNE-MARIE LATRÉMOLIÈRE / GRAPHISTE «CENTS COUPS DE GUEULE» dans le cadre de la 16ème édition de Graphisme dans la rue
FRANÇOIS CHAT ET ANNE-MARIE LATRÉMOLIÈRE / «LE BOIS DE PINS»
Installation de François Chat, metteur en scène, avec intervention typographique de Anne-Marie Latrémolière, graphiste
RUBANISATION / ÉTUDIANTS DE L'ÉCOLE SUPÉRIEURE D'ART DE RENNES http://rubanisation.wordpress.com/
2007
ÉGIDE VILOUX / PLASTICIEN «INCLINAISON, DÉCLINAISON»
L'œuvre d'Egide Viloux se développe autour de questionnements qui lui sont singuliers, en particulier la dimension physique et l'utilisation picturale du ready-made. La dimension physique est à entendre dans un double sens: d'abord parce que Egide Viloux se livre à un travail de montage et bricolage, maniant diverses techniques et affrontant parfois le monumental. La dimension physique s'exprime encore par l'attention portée aux rapports entre la mesure des œuvres et celles du corps. Qu'il s'agisse d'éléments dont la taille entretient un rapport spéculaire avec celle du corps ou bien, au contraire, d'environnements destinés à être parcourus, qui englobent le regardeur, ces œuvres ne se situent pas dans un hors champ décontextualisé ou virtuel, elles sont d'abord à appréhender physiquement. Enfin, l'utilisation d'objets ou de tissus imprimés ready-mades permettent de sortir du plan de façon manifeste, sans pourtant sortir de la peinture. Karim Ghaddab (extrait)
ÉVE K. / PHOTOGRAPHE
BRUNO SOUÊTRE / GRAPHISTE "CHARCTUERIE"
ARCHIMÊME STUDIO / ARCHITECTES
JEAN PIERRE ALLAIN / «Le bonheur est une idée neuve en Europe», Saint Just, 1794.
L’intervention joue sur des oppositions, des rencontres, des associations libres. La façade peinte occulte presque totalement la vitrine à l’exception de quelques étoiles à travers lesquelles peuvent être lus des textes affichés à l’intérieur. A l’extérieur deux personnages et un masque traités avec l’efficacité du langage de l’affiche – univers enfantin et ludique – comme un écrin à l’intérieur duquel trois éléments se distinguent : la citation de Saint-Just, les chiffres officiels du chômage dans l’Union Européenne, et un chien rose associé à deux textes emblématiques de l’esprit des Lumières Zum ewigen Frieden (Projet de paix perpétuel) d’Emmanuel Kant et le Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes de Jean-Jacques Rousseau.
2006
ANNE-MARIE LATRÉMOLIÈRE / GRAPHISTE «La Galeru de Noël»
LAURENT LIVET / «Salve slave»
VANESSA VERILLON / Dans le cadre du festival Graphisme dans la rue
CAROLINE COPPEY / PEINTRE «Liaisons» Pourtant, jour après jour, je ne fais que cela, discuter des couleurs. Pourquoi mettre celle-ci à côté de celle-là ? Pourquoi la porter à tel degré de dilution ou de saturation ? Pourquoi ici créer un fort contraste et là adoucir ? Pourquoi mélanger ce pigment à de l'huile et celui-ci à de l'eau ? Pourquoi donner telle forme à cette couleur et telle forme à cette autre ? Comment trouver de nouvelles associations de couleurs, qui spontanément ne viendraient pas sous le pinceau ? Comment rendre compte, finalement, de l'infinie variété des couleurs de la nature ? C'est la question que se posait Claude Monet. C'est une entreprise démesurée, qui a à voir avec l'infini, avec la science de la combinatoire, avec la chimie des mélanges, avec la physique des textures et des rayonnements, une entreprise dont je sais que je ne pourrai la mener que partiellement à bien. C.C.
BENCHAMMA ABDELKADER / «Lignes» Les deux parties de la Galeru, la vitrine et le fond sont recouvertes de lignes. Au premier plan, elles sont légères, blanches, presques invisibles, tandis qu’au deuxième plan, elles sont au trait noir, mêlés a des personnages, Il y a d’abord une réflexion sur ce qui est donné a voir, les évidences d’un côté, immédiatement repérables et d’autres choses, plus fines, invisibles, qui nous passent devant et peuvent être indécelables. L’intérieur est strié de lignes comme s’il pleuvait, accident poétique transformant un intérieur en un extérieur ou autre chose d’inquiétant faisant fuir des personnages ? Tout cela doit en même temps rester suffisamment incertain, vu que l’on est proche de l’univers du rêve. B.A.
JEAN-MICHEL HANNECART / «THE LAST WINDOW» The last window est une phrase de G.Bush en 2003, juste avant d’envahir l’Irak. C’était comme une dernière chance avant de provoquer la foudre. En lisant cette phrase, j’ai tout de suite pensé au tableau de Matisse peint en juillet:août 1914: “porte-fenêtre à Collioure”. J’ai donc fait un parallèle avec cette phrase et le noir qui occulte ce tableau le plus abstrait de Matisse, jusqu’à ressembler au tableau d’écolier. Mon travail s’apparente à des installations picturales où la peinture est dans un entre-deux souvent paradoxale. Le choix du médium craie/colle r epose sur ses propriétés techniques, historiques et symboliques. Appliquée sur tous supports, la craie accentue l’idée de temporalité. Elle est un instrument de lutte contre l’oubli, comme un moyen de questionner l’individu et son comportement. J’essaie de placer la peinture dans une position d’attente, de mise en suspens afin de mieux la voir. J-M.H.
2005
SPEEDY GRAPHITO /
OLIVIER GOURVIL /
PIERRE DI SCIULLO / GRAPHISTE Dans le cadre du festival Graphisme dans la rue
ÉVE K. / PHOTOGRAPHE Dans le cadre de l'expo "Fleurs" à la galerie de l'école
EMILIE BENOIST / PLASTICIENNE ESPACE MENTAL
"Espace mental“ est une double installation présentée dans deux lieux. Une construction proliférante et utopique est présentée dans les locaux de l'école d’arts plastiques. Un paysage central formé de milliers de micro-billes recouvre l’atelier de fabrication (la galerie), enferme dans la matière même: énergie, pensée, son qui ont constitué le travail et recrée une métaphore lointaine de ce qu’a pu être “l’inflation cosmique” il y a plus de quinze milliards d’années. L’univers grandissait à partir d’un point. La matière et l’antimatière se constituaient alors en se multipliant dans l’espace, tout autour des vues de cerveaux, localisations précises pointant des fonctionnements mentaux. A quelques centaines de mètres, à la Galeru, vitrine sur rue, sont montrés des disfonctionnements mentaux. Cette exposition prolonge une recherche autour du cerveau, puise dans l’enfance, dans la dimension du paysage. Je recompose dans l’espace des images piochées çà et là, scientifiques ou mentales. Elles s’associent à des matériaux simples, issus d’une consommation courante (éponge, élastique), les formes “faites-main” deviennent des présences utopiques révélant une société à deux vitesses où des opposés se cotoient: informatisé-bricolé, moderne-recyclé, scientifique-inventé”... E.B.
2004
GEORGES ROUSSE / PHOTOGRAPHE RÊVE
A la recherche de friches vouées à disparaitre ou à être réhabilitées, Georges Rousse transforme l’espace en une oeuvre visible d’un point de vue précis, utilisant le principe de l’anamorphose. Partant d’un travail de plasticien réunissant peinture, sculpture ou architecture pour en arriver au médium de la photographie, restituant, tel un magicien, la transformation de l’espace en espace de rêve. Rêve c’est le titre donné à l’oeuvre présentée à la galeru. Ce travail tout en aplat monochrome, ici l’orange, a été réalisé cet été à Fontenay dans un ancien pensionnat. Un travail sonore de Julie Rousse accompagnera les photographie
PHILIPPE RICHARD / EN LONG, EN LARGE, EN TRAVERS, SUR LES CÔTÉS, PAR DERRIÈRE
Les deux oeuvres présentées à Fontenay, respectivement dans la Galeru (En long, en large, en travers) et dans le nouvel espace d'exposition de l'école d'art (Sur les côtés, par-derrière) font parties de la série « Instables » commencée depuis plus de deux ans. Elles ont été réalisées spécifiquement pour chacun des deux lieux. Les Instables sont des structures peintes construites de manière à ce que les questions d'équilibre et d'occupation de l'espace soient au coeur de la démarche. Les instables sont pour la plupart de taille assez importantes, ce qui leur donnent le plus souvent une dimension théatrale. Elles sont le lieu « non-praticable » d'une pièce qui ne se jouera jamais.
DENIS BULOT / PLASTICIEN ESPACES VERTS
Par le projet «Espaces verts» Denis Bulot interroge le passant sur son environnement quotidien, son goût Nature. L'utilisation comme titre d'un terme emprunté au vocabulaire de l'urbaniste, nous indique qu'il s'agit ici d'ajouter au cadre de vie existant une plus-value. Mais la présence d'une faune hostile dans une végétation de décor papier-peint, d'artifices, d'illusions, nous induit à remettre en question nos références positivistes naturalistes. Dominante colorée, effet tache, réduction graphique, maillage-camouflage : faut-il décoder, décrypter nos premières impressions ? Le vert a-t-il encore sens ? Pouvons-nous prévoir notre parcours, projeter notre avenir dans un zonage chlorophylle. Les cartes routières et les schémas directeurs, les panneaux indicateurs nous guident vers des mondes vivables. Illusion! Le territoire du vide vert est bien pratique, c'est un espace dans lequel tout peut encore se faire, et quel que soit l'état de délabrement, il suffit souvent de repasser une couche, de cacher le vrai sous voile vert. Ce travail s'inscrit dans la continuité d'une série commencée à Klatovy en 2000 en Hommage à Messieurs de Lapalisse (cinq minutes) Palissy (dans le plat), Goethe (à la sensibilité). Il s'exprime au travers de prises de vues dans la nature, d'installations d'animaux factices, repeints et patinés, la transformation de ces photographies par traitement informatique afin d'obtenir par réduction des informations en une trace graphique, une structure cachée : la sinopia.
KUNSTHOCHSCHULE BERLIN-WEISSENSEE / PARTENARIAT ÉCOLE D'ART Dans le cadre du festival Graphisme dans la rue
EMANUELA NOT / GRAPHISTE LA GALERU EST FERMÉ POUR TRAVAUX
SIMON BERNHEIM / ONION UNION / DIVISION
JEAN BALLON /
2003
KATERINE LOUINEAU / PLASTICIENNE INTERIM'ART
YANN LEVY / CE QUI POUSSE LES MURS
TAMASSOCIATI / ARCHITECTES PROJET LA GALERU MOBILE
"La galeru fonctionne au niveau local à l’échelle d’un quartier du vieux Fontenay. Elle ne répond donc qu’à un public circonscrit ou de passage. Ne trouvant pas le pendant de la galeru dans d’autres quartiers, notre réflexion s’est portée vers une plus grande mobilité de l’oeuvre d’art et de son rapport de proximité. Pourquoi ne pas concevoir une galeru mobile, à l’exemple des cabanes de chantier. Cette galeru mobile pourrait montrer l’oeuvre d’un artiste; sur une place, un marché, le parvis de l’hôtel de ville, le préau ou la cour de l’école. J'ai demandé à l'agence d'architecture TAM une proposition sur des critéres de fonctionnalité pour des espaces intramuros et hors les murs". Philippe Chat
LES GRAPHISTES RÜBIMANN / GRAPHISTES LA TELERU
«La Téléru interroge le passant sur sa relation avec la télévision. La télé, est-elle un reflet de vous?, vous influence-t-elle?, répond-t-elle à vos désirs?, est-elle vitale pour vous?...»
IRACEMA BARBOSA / BOIS DE CARNAVAL
«Bois se dit madeira en portugais. Madeira est associé à Matéria. Madeira-matéria-matter. Ce sont des mots qui nous renvoient à une présence du corps et à l’origine des choses. Ce travail est né ici, au Bois de Vincennes. J’ai commencé par collectionner les branches des arbres qui étaient tombées par terre. Des branches fines, lisses, rêches, longues et tordues. Je les ai sélectionnées, récoltées et ordonnées. Les rubans colorés m’ont servi à créer une nouvelle structure pour ces branches de bois, comme une sorte d’écriture qui mélange mémoire et espoir. Etant brillants, ces rubans semblent même humides. Ces rubans, quand je les attachais, m’ont évoqué des souvenirs : les fêtes populaires au Brésil, comme celle de l’église du Bonfim, où l’on porte un ruban de couleur pour signifier l’espoir. Mais aussi les serpentins que l’on lance pendant le Carnaval, et dont on suit les traces dans l’air avant qu’ils ne tombent par terre. Ces souvenirs accompagnaient les gestes répétitifs qu’il m’a fallu accomplir pour nouer ces branches rappelant d’autres gestes et d’autres souvenirs me donnant l’impression d’accomplir une sorte de rituel. Je crois que les rapports entre ce travail et le Carnaval sont plutôt ludiques, ils sont liés à une envie de réorganiser des choses, de jouer, de donner un rythme à un monde trop figé, de faire danser l’ordre du monde! Depuis déjà 10 ans, mon travail reste profondément lié à une géométrie qui veut mettre en évidence la démesure des choses en leur donnant précisément un certain cadre.»
HERVÉ BREHIER / «Des sujets me viennent par répétitions au cours de ballades, de déplacements, de voyages. Créer une suite de photos, une sorte de stock de toutes formes de récipients : Bidons, fûts, boîtes, réservoirs, seaux... Faire ces photos un peu comme ça, tout en relevant le graphisme, la couleur, la forme sculpturale. Ces bidons, ces fûts, ces boîtes, ces réservoirs, ces seaux naissent et disparaissent du fait de l'homme qui les utilise, les déplace et les oublie selon ces besoins. Cette suite de photos me conduit à un travail d'assemblage avec différents contenants, où la forme naît d'elle-même, tout en étant le résultat d'une action et d'un calcul empirique : Assembler, grouper, mettre ensemble, déplier... Balayer : Déplacement sur le sol. Agitation, soulèvement, trouble, des poussières, des résidus, des restes...»
2002
ANNE-MARIE LATRÉMOLIÈRE / GRAPHISTE
EMANUELA NOT / GRAPHISTE
GIANPAOLO PAGNI / PEINTRE, ILLUSTRATEUR Prenez un livre d'images, détachez les pages une à une, mélangelez-les entr'elles. Regardez.
OLIVIER DARNÉ, LA FABRIQUE D'IMAGES / GRAPHICULTEUR NOUS SOMMES TOUS DES ABEILLES
CHRISTINE MATHIEU / GRAPHISTE LE CRI DANS LA FORÊT « ... caisse de résonance d'un silence cosmique, contre-jour d'un rayonnement irréel... »
BRIGITTE OLIVIER ET CAMILLE CUISSET-OLIVIER / PHOTOGRAPHES Réalisée en duo par Brigitte Olivier et sa fille Camille, cette série photographique s’articule sur un principe d’images associées. À partir d’un territoire à la fois géographique et intime, les figures sont mises en rapport comme autant de visibles où se joue un dialogue de regards croisés. Figures minières Ici, le jeu de figures naît d’une représentation multiple du sujet en noir et blanc. De cette installation, revisitée par des fenêtres points de vue, colorées ou non, émane une autre réalité, la dualité d’une perception située entre les deux moyens de reproduction de la photographie, le noir et blanc et la couleur.
OLIVIER SOULERIN / PLASTICIEN « ...chercher le centre de gravité, l’axe du paradoxe - évider la forme de son évidence - mettre en retrait le dessein d’origine - taquiner la mesure du possible - en déplier les sens pour qu’ils se déploient - entre-registrer les coïncidences - favoriser le mélange - dédier une part au silence - entre-peindre jusqu’à la correspondance - accueillir le doute comme une indication... » Différents aplats de couleurs sont disposés dans l’espace de la galeru. Une fois recomposée sur le plan frontal de la vitrine, l’image schématisée d’un niveau à bulle prend forme et fait surface. La rue devient l’axe oblique d’un parcours suivant lequel s’opère la construction ou la deconstruction de l’image. S’appuyant ainsi sur la configuration topographique du lieu, le projet met à fleur la relation d’inclinaison / inclination qu’entretient la galeru avec la voie publique, et vice versa.
2001
SANDRA FOLTZ / PLASTICIENNE LE CHIEN ET L'ÂNE
Artiste plasticienne, je réalise des installations qui empruntent souvent des éléments au registre domestique : vélo d’appartement, meubles avec papier-peint, table de ping-pong, lustres... Ces installations intègrent aussi des éléments sonores et parfois des images vidéo. Elles mettent en jeu les limites de l’espace individuel et celle de l’espace publique.» «Le chien et l’âne est un projet qui traduit avec un graphisme synthétique et simple, un état subjectif de doute ou d’indécision. Le vocabulaire visuel est emprunté à la signalétique de rue. Cet état de conflit et d’hésitation se montre sous la forme d’une opposition binaire irrésolue. Le dessin indique une double direction qui se fond dans le mouvement urbain et accompagne le passage des marcheurs.
MALTE MARTIN, AGRAF MOBILE / GRAPHISTES BLANCHE NEIGE - idée et conception : Malte Martin, assisté par Stéphanie Brahy Agrafmobile agit comme un théatre visuel intinérant. Il a pour objet de créer et d'organiser des évènements artistiques tant dans le domaine des arts visuels que dans celui du spectacle vivant. Elle privilégie des interventions qui s'intègrent dans l'espace urbain et rendent accessible la création contemporaine à un large public. Malte Martin graphiste et plasticien, poursuit depuis plusieurs années un travail de création visuelle dans l'espace public. "Mon envie, c'est de recréer parce théâtre visuel un espace public qui donne à voir et à lire autre chose que des signes administratifs et des messages commerciaux. Une tentative de reconquérir l'espace public comme espace d'imagination appartenant à ceux qui y vivent..."
EMANUELA NOT / GRAPHISTE LA GALERU EN VACANCES 10 cartes postales
ANNE-MARIE LATRÉMOLIÈRE / GRAPHISTE QUE SE PASSE-T-IL DERRIÈRE?
NOUS TRAVAILLONS ENSEMBLE / GRAPHISTES Durant un mois, les graphistes de l’atelier Nous Travaillons Ensemble (*) vont investir le coin de la rue pour réaliser quotidiennement (sauf le dimanche...) leur revue de presse. Jour après jour, ils y afficheront leur regard subjectif sur la vie, la ville, le monde et ce qu’on en dit dans les journaux. (*)Valérie Debure, Isabelle Jégo, Alex Jordan, Ronit Meirovitz, assistés pour l’occasion par Cédric Rossi
FABIENNE AUZOLLE / PLASTICIENNE « Le travail présenté à la Galeru est la continuité d’une installation effectuée pour le Salon de l’Éphémère en 1999. Treize gouttes avaient été réalisées avec 6500 bouchons d’eaux minérales et de sources, en relation avec la ville de Volvic et ses fontaines sans vie. J’ai poursuivi sur le thème de l’eau car Fontenay sous Bois est une ville d’eaux souterraines et possédait au début du siècle plusieurs fontaines. L’eau court, vit, se fraie inopinément des passages lors de travaux et ressurgit quelquefois avec force ; toute cette circulation sous nos pieds à plus de quatre mètres de profondeur m’apparaît fascinante! L’élément "eau" transporte en nous une puissance onirique, un idéal de pureté original. On peut rappeler Bachelard pour qui " (...) l’eau courante, l’eau jaillissante est primitivement une eau vivante, c’est cette vie qui demeure attachée à sa substance et qui détermine la purification" .» F. A.
PIERRE MABILLE / PEINTRE « Dans les villes en voie d’extinction il y a d’anciennes boutiques fermées, par exemple une vitrine de cordonnier aux couleurs ternies par le temps et la poussière. À l’inverse, la galeru est totalement immergée dans le flux de la circulation, les sons, les odeurs, l’activité quotidienne de la ville; elle agit au coeur de cette vie rythmée. Depuis qu’elle existe j’ai remarqué qu’on ne s’arrête pas longtemps pour contempler les oeuvres proposées à l’intérieur. Pour ma part je les aperçois du coin de l’oeil, j’enregistre les changements, les images et les signes, c’est une présence familière et vive. la nuit dans mon quartier le seul espace lumineux, c’est la devanture de l’épicerie de omar: une belle installation géométrique à partir de bouteilles de gaz, cagettes colorées aux provenances variées avec citrons, oranges, endives, salades, fruits et légumes bien éclairés, bien présentés. mon idée pour la galeru est volée à l’étalage de omar: c’est l’idée simple d’une pile, c’est-à-dire un empilement de formes compactes, une forte charge d’énergie au milieu de la ville, avec des couleurs acides, des couleurs saturées, activées, allumées au milieu de l’hiver... » P. M.
MAËLLE LABUSSIÈRE / PEINTRE « C’est avec les matériaux que j’utilise au quotidien que je vais intervenir à La Galeru : le châssis, la toile, la peinture. Utilisant déjà de grands formats, je vais en accentuer la taille par une surface de 2m x 6m. ( 3 châssis de 2 x 2 travaillés simultanément : 1 + 2 + 3, 2 + 1 + 3, 2 + 3 + 1 ) Comment la peinture avec son bagage traditionnel peut-elle exister dans le paysage urbain? Comment la peinture qui demande pour être visible un temps d’arrêt, peut-être vue dans une rue passante? Comment le contact direct que l’on a face à une toile peut-il être encore perçu puisque la vitrine fait cadre? Le pari d’importer la peinture dans un espace non convenu me semble difficile et j’ai voulu le tenter. » M. L.
2000
MELIK OUZANI / PEINTRE BAZAR BABEL. FÈRIA D'AUTOMNE
MURIEL POLI / PEINTRE
ALAIN SNYERS / PLASTICIEN FONTEN-IMMO - l'agence immobilière de proximité dans le cadre du 13ème Salon de l'Éphémhère
BEN / PLASTICIEN ATTENTION LA CULTURE MANIPULE
CHRISTINE O'LOUGHLIN / PLASTICIENNE CULTURE IN VITRO
SÉBASTIEN COURTOIS / GRAPHISTE
GÉRARD PARIS CLAVEL / GRAPHISTE SIGNALÉTIQUE COSMIQUE EN MILIEU URBAIN À partir des formes du quotidien, peut-on comprendre l’immensité de l’univers? PIÉTON DE LA VILLE Ces images représentent à mes yeux le brouillage de nos villes, envahies par les signes du commerce visuel télévisuels et virtuel que nous subissons quotidiennement sans en voir autre chose que des vibrations aliénantes.